Chronique d’un Nordique de retour au pays
Ceci est le journal de ma vie. Celle-ci fut longue et remplie de péripéties. Vous risquez d’être révolté dans la manière j’ai vécu voir même choquer. Si vous estimez que vous avez un esprit sensible veuillez reposer ce livre et continuer votre route. Pour les autres armer vous de courage voici le premier Chapitre de mon retour a Bordeciel.
Chapitre 1 : Condamnation à mort.
Je commence donc ce récit à mon retour a Bordeciel. C’était le 17 de vifazur de l’année 201 de la 4eme ère je rentrais au Pays après avoir battu les routes pendant plusieurs année en tant que mercenaire au plus offrant. Alors que je rentrais je croisais un homme qui s’avérait être Ulfric Sombrage chef des Rebelles, les Sombrages, qui venait de tué le Haut Roi de Bordeciel. Il avait les soldats impériaux qui le pourchassait mais fut pris dans une embuscade avec moi et je fus pris pour un partisan des rebelles. Je suis passé d’un simple mercenaire nordique au stade de traitre envers l’empire en quelque seconde, cela allez sceller mon destin. Je fus ligoté, séparé de mon équipement et jeter dans un chariot avec Ulfric et deux de ses compagnons.
J’ai entendu les gardes qui parlaient de nous envoyer a la ville fortifié d’Helgen où l’on sera décapité pour traitrise. Je n’avais pas envie de mourir le chemin me parut affreusement court. Une fois arrivé on fut aligné avec d’autre prisonniers Sombrages. J’étais le premier passé mais par peur j’ai préféré fuir. J’ai couru aussi vite que j’ai pu j’ai senti une flèche me toucher dans le dos j’ai donc décidé de passer pour mort et profiter du moment où il déplacerait mon corps pour fuir. Mais ce qui aller suivre personne n’aurait pu le prévoir. Ce fut au tour du nordique qui était en face de moi de passer. Il n’était pas loquasse. Il n’avait dit mot pendant tout le voyage et apparemment tout comme moi il venait juste de rentré au pays et fut pris pour cible par les impériaux. Il s’approchait du billot le bourreau leva sa hache mais au moment ou il l’allait appliquer sa sentence un dragon apparu et mis cours à l’exécution. Vous avez bien lu un dragon le premier aperçu en Tamriel depuis des siècles. Profitant de la confusion je fuis loin d’un Helgen se faisant détruire par le dragon.
Je décidais de rendre visite à mon cousin à Rivebois qui était forgeron. Il pourrait me libéré de mes menottes et me fournir un léger équipement pour revenir sur le marché des mercenaires. Je décidais aussi sur la route, je me vengerais de l’empire et je ferais tout pour le défaire.
Yotol
fan fiction vidéoludique
Mardi 6 décembre 2011 à 3:57
Mardi 6 décembre 2011 à 3:58
Chapitre 2 : Un Nouveau Départ
Après une journée de marche dans le froid j’arrivais enfin à Rivebois, La forge était pas loin j’espère que mon cousin se souvient de moi. Ça fait si longtemps que je suis parti. Je préférais rester loin du village jusqu'à la nuit tombé car je n’ai toujours pas réussi à me débarrasser de mes menottes. Après avoir attendu quelques la nuit était tombé, je me suis rendu à la forge, dans la maison de mon cousin. J’entrai discrètement, je découvris mon cousin et sa femme à table j’étais tellement épuisé affamé et affaibli par le froid que je suis tombé de fatigue à peine rentré.
Je ne sais pas combien de temps je suis resté évanouis, mais a mon réveil mon cousin était auprès de moi avec un bol de soupe encore chaude et je n’avais plus de menottes. Mon cousin m’avais expliqué que des impériaux recherchait des fuyards mais je n’étais pas sur la liste. En effet j’étais considéré comme mort à leurs yeux.
Libre enfin, libre d’accomplir ma vengeance. En premier lieux il me fallait retrouver un équipement digne de ce nom, puis amasser assez d’or et enfin rejoindre les Sombrages ou même la confrérie noire. En effet j’ai entendu dire que le dernier sanctuaire de tout Tamriel encore actif. Mon cousin m’offrit une armure complète en acier ainsi qu’un bouclier et une épée en acier. Il m’offrit aussi quelque torche des provisions et une petite bourse de 100 pièces d’or pour mes dépenses diverse. Il m’a dit que le Jarl de Blancherive chercher toujours des hommes fort pour diverses missions et qu’il était neutre dans la guerre civile. Une fois équipé je suis parti en direction de Blancherive. Je me rappelle cette ville. Il y avait deux grandes familles qui se faisait la guerre, les « grises toisons » et les « guerrier nés », je suis sur que l’une des familles porte allégeances au Sombrages et l’autre aux impériaux, mais je ne savais pas qui était avec qui.
Après un bref chemin vers Blancherive j’arrivais enfin, la ville n’avait pas changé le quartier commerçant en bas et les habitations luxueuses au dessus et enfin au sommet Fort Dragon, le château du Jarl. À mon arrivé c’était la panique. Un dragon a été aperçu à la tour ouest et toutes les forces sont mobilisées. J’ai présenté mes services au Jarl qui accepta rapidement car au vu de la situation toute personne pouvant porter une arme est le bienvenue. J’ai entendu dire qu’un autre mercenaire spécial était de la partie. Ma première mission de ma nouvelle vie c’est donc ni plus ni moins que de pourfendre un dragon rien que ça.
Après une journée de marche dans le froid j’arrivais enfin à Rivebois, La forge était pas loin j’espère que mon cousin se souvient de moi. Ça fait si longtemps que je suis parti. Je préférais rester loin du village jusqu'à la nuit tombé car je n’ai toujours pas réussi à me débarrasser de mes menottes. Après avoir attendu quelques la nuit était tombé, je me suis rendu à la forge, dans la maison de mon cousin. J’entrai discrètement, je découvris mon cousin et sa femme à table j’étais tellement épuisé affamé et affaibli par le froid que je suis tombé de fatigue à peine rentré.
Je ne sais pas combien de temps je suis resté évanouis, mais a mon réveil mon cousin était auprès de moi avec un bol de soupe encore chaude et je n’avais plus de menottes. Mon cousin m’avais expliqué que des impériaux recherchait des fuyards mais je n’étais pas sur la liste. En effet j’étais considéré comme mort à leurs yeux.
Libre enfin, libre d’accomplir ma vengeance. En premier lieux il me fallait retrouver un équipement digne de ce nom, puis amasser assez d’or et enfin rejoindre les Sombrages ou même la confrérie noire. En effet j’ai entendu dire que le dernier sanctuaire de tout Tamriel encore actif. Mon cousin m’offrit une armure complète en acier ainsi qu’un bouclier et une épée en acier. Il m’offrit aussi quelque torche des provisions et une petite bourse de 100 pièces d’or pour mes dépenses diverse. Il m’a dit que le Jarl de Blancherive chercher toujours des hommes fort pour diverses missions et qu’il était neutre dans la guerre civile. Une fois équipé je suis parti en direction de Blancherive. Je me rappelle cette ville. Il y avait deux grandes familles qui se faisait la guerre, les « grises toisons » et les « guerrier nés », je suis sur que l’une des familles porte allégeances au Sombrages et l’autre aux impériaux, mais je ne savais pas qui était avec qui.
Après un bref chemin vers Blancherive j’arrivais enfin, la ville n’avait pas changé le quartier commerçant en bas et les habitations luxueuses au dessus et enfin au sommet Fort Dragon, le château du Jarl. À mon arrivé c’était la panique. Un dragon a été aperçu à la tour ouest et toutes les forces sont mobilisées. J’ai présenté mes services au Jarl qui accepta rapidement car au vu de la situation toute personne pouvant porter une arme est le bienvenue. J’ai entendu dire qu’un autre mercenaire spécial était de la partie. Ma première mission de ma nouvelle vie c’est donc ni plus ni moins que de pourfendre un dragon rien que ça.
Mardi 6 décembre 2011 à 20:00
Chapitre 3 : Ce soir nous mangeons du dragon
Tuer un dragon. Une mission qui peut paraitre suicidaire mais qui me couvrira d’une certaine renommé si je m’en sors vivant. Armer de mon courage et accompagné de quelque garde de Blancherive on se mit en route vers la tour ouest pour porté assistance à des troupes précédemment envoyé par le Jarl. Sur le chemin la tension était palpable. J’ai entendu un garde qui disait qu’il voulait fuir qu’on n’était pas de taille à combattre un dragon, je pouvais le comprendre mais on est des nordiques on ne doit pas fuir face a un combat.
On pouvait entendre au loin le combat et les féroces hurlements du dragon. On pressa le pas et quand on arriva on ne perdit pas de temps. Je pris un arc et des flèches sur un cadavre de gardes et commença a lui tiré dessus. J’avais l’impression de rien lui faire il semblait invincible, mais l’autre mercenaire envoyer par le Jarl semblait bien plus confiant il enchainer sort et flèches si bien que rapidement le dragon fut obliger de se poser. On chargea tous sur le dragon, lui assainirent des coups d’épée de hache ou même de Marteau de guerre pour certain, sa peau était dur main on le voyait saigné, il était proche de la mort on le sentait il essayait de fuir mais rien y fait il finit par périr sous nos coups. C’était mon combat le plus dur que j’ai effectué. Mais ce n’était rien comparait à ce que j’allais voir.
Le Mercenaire du Jarl absorba le Dragon, littéralement. Il ne restait plus que des os au dragon. Dovakhin, la légende disait vrai, une personne capable d’absorber l’âme des Dragons et utilise leur pouvoir contre eux. On était tous étonné mais épuisé, il fut envoyé au château du Jarl, tandis que moi je restai un peu à la tour histoire de récupéré quelque flèche et or sur les corps ainsi que me reposer un peu, mais soudain on entendit un énorme grondement « Do Va Khin ». Ce grondement confirma mes doutes, ce mercenaire était bien un Dovakhin.
Ma fouille fut bonne car j’ai réussi a récupéré quelques septim et également une dizaine de crochés toujours utile en cas de serrure récalcitrante, je décidai aussi de passé la nuit a la tour et d’allait cherchait ma récompense auprès du Jarl au petit jour. Après une nuit calme, où les gardes faisait le deuil de leur camarade qui ont périt au combat je me mis en route pour Fort Dragon ou le Jarl m’attendais. La route fut calme et la matinée fraiche. À Blancherive j’entendais toute sorte de rumeurs sur le Dovakhin sur le fait qu’il aurait était envoyé au « Haut Hrothgar » pour parfaire sa destiné d’enfant de dragon. Cela me laisser totalement indifférent, le Jarl m’attendais. Une fois dans Fort Dragon j’ai vu qu’il y avait une forte agitation, j’ai eu du mal a approché le Jarl mais son chambellan me reçu et me donna ma récompense, quelques pierres précieuse ainsi qu’une bourse d’une centaine de septim.
La prochaine étape de mon périple était de savoir qui des Grises-toisons et des Guerriers-nés était du coté des Sombrages afin de les rejoindre, j’avais déjà ma petite idée la dessus.